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Le briefing politique essentiel du matin.
Par SARAH PAILLOU
Avec ELISA BERTHOLOMEY et ANTHONY LATTIER
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ELLE N’EXCLUT PAS LE CONTRÔLE. Avant d’en venir à la déclaration de politique générale de Michel Barnier, Playbook se doit de vous conter comment cet événement a été l’occasion pour Nicolas Vanbremeersch, chef du pôle communication de Matignon, de tendre un piège à ses homologues des ministères.
Pris la main dans le Versac. Dans la boucle interne d’une messagerie cryptée où sont réunis les conseillers gouvernementaux en charge de la com’, Vanbremeersch leur envoie le PDF du discours de Michel Barnier, à 15h24 selon une capture d’écran envoyée à votre serviteure. Soit une petite heure avant la fin de la déclaration du Premier ministre. “Embargo total : laissez Matignon en contrôle du texte”, précise celui qui est surnommé en ligne “Versac”, son ancien nom de blogueur.
Comprendre : les “cons’ com”, comme on dit dans ces milieux, ont pour consigne de ne pas diffuser le fichier.
Bleu de méthylène. Quelques minutes plus tard, le chef de la com’ dévoile le pot aux roses : cet envoi était “un test”, pianote celui qui assure avoir envoyé plusieurs versions du PDF, pour vérifier quels fichiers circulaient. Et ainsi identifier quels collaborateurs avaient transféré le texte malgré l’interdiction. “L’embargo n’a pas été respecté”, plante Versac. Voilà qui augure d’un environnement de travail sain et bienveillant. Bon réveil à toutes et tous, nous sommes mercredi 2 octobre 2024.
CE QUI FAIT CAUSER. Si vous avez manqué la prestation de Michel Barnier, hier devant les députés, pas de panique. Le Premier ministre réédite l’exercice de la déclaration de politique générale cet après-midi au Sénat. Pour la substantifique moelle de son discours, mes collègues ont listé ici les huit annonces à retenir (pour nos abonnés PRO) : hausses d’impôts confirmées, retour du projet de loi agricole, revalorisation anticipée du Smic… Pour un compte-rendu exhaustif et minute par minute, vous pouvez aussi relire notre live-blog. Votre serviteure vous propose, elle, une compil’ subjective de ce-qui-a-fait-réagir.
Michel, mi-chou. Plusieurs observateurs ont jugé la performance du PM “consensuelle”, sans “surprise”, visant à distribuer des “petits gestes” à presque tous les camps d’une Assemblée morcelée, selon les mots de nos interlocuteurs venus de partis variés. “Certains pourront vous dire : ‘Oh mais c’était pas extraordinaire !’ Mais c’est justement sa spécificité, il a dit qu’il ne ferait pas de miracles”, a tenu à nous pianoter cette nuit un conseiller de Barnier. Mais Playbook a tout de même déniché plusieurs irritants.
IGNORÉS. Depuis la DPG, un nouveau député Ensemble pour la République (ex-Renaissance), en sus de Stella Dupont, menace de voter la motion de censure du Nouveau Front populaire, la semaine prochaine. L’élu de Nouvelle-Calédonie Nicolas Metzdorf (tendance loyaliste) ne l’exclut plus, “dégouté”, nous a-t-il confié, de n’avoir entendu aucune mesure de soutien économique au Caillou, exsangue après les émeutes mortelles du printemps. Surtout, il ne digère pas l’abandon du projet de loi constitutionnel visant à dégeler le corps électoral calédonien (à l’origine du mouvement insurrectionnel). Le PM a annoncé que le Congrès, réunion des deux chambres du Parlement qui aurait pu valider le texte, n’aurait pas lieu.
Friture sur la ligne. Si Playbook vous en cause si vite, c’est parce que, selon deux sources, le président — d’ailleurs seul compétent pour convoquer ledit Congrès — n’avait pas tout à fait été averti que le chef du gouvernement irait aussi loin. “Il avait demandé à Michel Barnier de ne pas parler de ce sujet-là [le dégel du corps électoral] et de se concentrer sur l’économie”, nous a assuré l’une d’entre elles. Sollicités dans la nuit, les conseillers de Matignon et de l’Elysée n’ont pas su nous répondre précisément.
Il a pas dû kiffer. Autre motif d’émoi, souligné par le député socialiste Jérôme Guedj sur X : le chef du gouvernement n’a pas cité une seule fois son prédécesseur, Gabriel Attal. En reprenant la parole après les interventions des présidents de groupe, Michel Barnier l’a même pointé du doigt, littéralement, façon avertissement du professeur : “M. Attal, je serai très attentif à vos propositions d’économies supplémentaires […] pour faire face à un déficit que j’ai trouvé en arrivant.” Une réponse “factuelle” et “respectueuse” nous a assuré sans rire, au mitan de la nuit, le collaborateur matignonesque mentionné plus tôt.
Impôt de départ. Le président du groupe EPR venait de rappeler “la bonne méthode” prônée par ses troupes : “moins de dépenses et certainement pas plus d’impôts”. Ce qui crispe surtout les députés EPR, c’est la volonté du Premier ministre de taxer les grandes entreprises qui réalisent des “profits importants”. “Taper les grandes entreprises à un moment où la conjoncture internationale est fragile et alors que la France est le pays le plus attractif d’Europe, c’est non”, nous a confié un élu du groupe, alors que le chef du gouvernement s’exprimait encore.
Pas d’malaise. La “contribution exceptionnelle” des ménages “les plus fortunés”, elle, ne fait certainement pas hurler dans les rangs de la Droite républicaine (ex-Les Républicains). Un député du groupe avec qui Playbook déjeunait nous l’expliquait avant même la DPG : “Nous, on n’a plus de gens riches dans nos circos.”
ELLE A KIFFÉ. Comme le notent ce matin mes collègues de Paris Influence, Michel Barnier a veillé à choyer Yaël Braun-Pivet, dont nombre des marottes ont été citées par le PM, telle son idée d’une “journée nationale de consultation citoyenne”.
Mais-mais-mais l’un des proches de la présidente de l’Assemblée nationale nous faisait toutefois part, dans la soirée, de sa “petite méfiance” sur la fin de vie. Michel Barnier s’est certes engagé à “reprendre le dialogue” début 2025 avec les parlementaires, soignants et associations. “Mais la demande des députés, c’est de reprendre le texte là où ils en étaient restés”, poursuivait la même source, c’est-à-dire à l’examen, interrompu par la dissolution, de la proposition de loi d’Olivier Falorni.
Même “prudence” de la “PAN” sur l’introduction de la proportionnelle (aussi chère au MoDem et au Rassemblement national), pour laquelle le PM s’est seulement dit prêt à “une réflexion et une action”, sans plus de précisions. “Sa méthode, c’est surtout de prendre le temps…”, concluait notre homme.
GAME OF PRÉSIDENCES. N’allez pas croire que seule la DPG animait les conversations de couloirs du Palais-Bourbon hier. On vous en parlait ce mardi et déjà la semaine passée : depuis le départ vers le gouvernement de plusieurs députés occupant des postes-clé de l’Assemblée, ça turbule sec au sein des groupes parlementaires pour savoir à qui vont revenir ces précieuses fonctions. Aujourd’hui se jouent les premiers votes pour désigner les présidents de plusieurs instances (on y vient). Et, avec eux, la première étape d’un vaste jeu d’influence entre Laurent Wauquiez et Gabriel Attal, chefs des groupes DR et EPR.
“Tous ces votes sont liés et vu les difficultés pour les quatre groupes du bloc majoritaire à arriver à un accord, ça peut avoir des conséquences très néfastes. S’ils se battent entre eux, le Nouveau Front populaire peut en profiter.” Tel était l’avertissement vespéral d’un fin connaisseur des arcanes du Palais, délivré dans notre cellulaire. Où résonnait aussi le souvenir d’un Rassemblement national désireux de récupérer des postes dont il a été exclu en juillet, comme d’un MoDem frustré de n’avoir aucun représentant au bureau de l’Assemblée.
Ce qui perturbe l’équation : le souhait de Laurent Wauquiez de lâcher la vice-présidence du Palais, occupée jusqu’à présent par Annie Genevard (Droite républicaine), pour récupérer la présidence d’une commission, écrivait-on hier. En l’occurrence, celle des Affaires économiques, détenue avant par Antoine Armand d’EPR sa nomination à Bercy.
À noter : d’aucuns pourrait considérer qu’un échange VP-contre-présidence d’une commission est acceptable pour le groupe d’Attal. Sauf que le vote pour la première s’annonce bien plus périlleux, en l’absence des 20 députés du “socle commun” nommés au gouvernement ; quand, en commissions, ceux-ci peuvent être remplacés par d’autres élus, dans l’attente de l’arrivée de leurs suppléants.
A deal is a deal. Les députés EPR se sont mis d’accord, lors de leur réunion de groupe hier matin, sur un mot d’ordre assez simple résumé par un participant : “No way.” Hors de question de céder aux pressions du trop gourmand Wauquiez qui, en voulant tout chambouler, prend “le risque de tout péter”, ajoutait le même. A savoir : l’accord conclu en juillet entre les différentes composantes du “socle commun”.
“C’est pas contre Gabriel [Attal], c’est parce qu’il n’arrive pas à tenir ses troupes”, tentait de déminer à peu près au même moment, lors de sa propre réunion de groupe, le chef de DR, faussement soucieux de sauvegarder leur bonne entente de circonstance, nous a rapporté un élu du groupe de droite.
Muscle ton jeu. Les ouailles d’Attal, de fait, ont poussé leur président à ne pas se laisser faire. “S’il lâche là, il n’y a plus de verrou pour la suite”, décryptait une conseillère, certaine que Wauquiez allait “refaire le coup à chaque fois”.
LE VOTE DU JOUR. Pour avoir une idée de la capacité de la néo-majorité gouvernementale à s’entendre, il vous faudra surveiller le vote prévu cet après-midi au sein de la commission spéciale chargée de vérifier et d’apurer les comptes, nous a signalé notre spécialiste précité. La présidente sortante, Marie-Christine Dalloz, souhaiterait rempiler.
Problème : ce poste doit revenir à l’opposition. Où, certes, est toujours officiellement inscrit le groupe de Dalloz, DR. Mais dont on peut raisonnablement suspecter un basculement sous peu dans les rangs de la majorité — eu égard aux membres de leur parti présents au sein du gouvernement, dont Michel Barnier lui-même. “Les autres groupes disent : ‘si c’est pour que dans trois jours, le groupe DR change d’inscription, c’est pas logique qu’elle récupère ce poste’”, expliquait notre expert, pointant là l’un des points sur lesquels le socle commun n’avait “pas encore atterri” hier soir.
PROCHE-ORIENT. Emmanuel Macron a réuni un conseil de défense hier soir après les tirs de missiles de Téhéran. Le chef de l’Etat, qui condamne les attaques de l’Iran et exhorte le Hezbollah à “cesser ses actions terroristes” contre Israël et Israël à “mettre fin au plus vite à ses opérations militaires”, a demandé au ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot de se rendre sur place afin d’oeuvrer à la désescalade. Paris a aussi réclamé une réunion en urgence du conseil de sécurité de l’ONU qui doit se tenir aujourd’hui à 10 heures (heure de New York).
MACRON À BERLIN. La situation au Proche-Orient sera certainement abordée lors de la rencontre aujourd’hui entre Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz, en marge du Berlin Global Dialogue. Mais les deux hommes ont surtout prévu de discuter du fameux rapport Draghi sur la compétitivité européenne, avec un principal point de désaccord : l’idée d’un nouvel emprunt commun européen, soutenue par la France mais combattue par l’Allemagne. Le couple franco-allemand a deux autres motifs de dispute à aplanir, souligne mon collègue Hans van der Burchard dans Berlin Playbook : les droits de douane sur les véhicules électriques chinois, redoutés par Berlin, et l’accord de libre échange avec le Mercosur, craint par Paris.
Emmanuel Macron se rend en Allemagne, où il s’entretient avec Olaf Scholz et participe au Berlin Global Dialogue.
Michel Barnier et plusieurs ministres se livrent à la première séance de Questions au gouvernement de la session à l’Assemblée nationale à 14 heures. Il se rend au Sénat pour sa déclaration de politique générale à 15 heures.
Antoine Armand petit-déjeune avec Marc Ferracci, Marie-Agnès Poussier-Winsback, Marina Ferrari et Laurence Garnier à 8h30, puis s’entretient avec François Villeroy de Galhau à 9h30. Il a un entretien téléphonique avec Christian Lindner, son homologue allemand à 12h15, puis avec Valdis Dombrovskis, vice-président de la Commission européenne à 12h45, avant d’échanger avec Christine Lagarde à 18 heures et de rencontrer Sonia Backès à 19 heures. Sébastien Lecornu reçoit son homologue argentin puis est décoré de l’ordre national du mérite allemand par son homologue Boris Pistorius à 16h50. Rachida Dati est en déplacement à Coulommiers pour inaugurer le backlot “Rues de Paris” dans les studios de cinéma de l’entreprise TSF à partir de 10h30. Benjamin Haddad est à Varsovie pour le Warsaw Security Forum. François Durovray s’entretient avec Hervé Maurey, sénateur de l’Eure à 8h30, avec Antoine Vermorel Marques, à 9h30, avant de rencontrer Benjamin Smith, directeur général d’Air France-KLM à 17 heures. Catherine Vautrin s’entretient avec Boris Ravignon, maire de Charleville-Mézières à 10 heures, et se rend au congrès annuel de Villes de France à Sélestat, où elle assiste à un dîner de gala à 20 heures. François Gatel s’entretient avec Guylaine Brohan, présidente de l’association Familles rurales et Guillaume Rodelet, directeur général. Olga Givernet ouvre le colloque national éolien au Parc floral de Paris.
Yaël Braun-Pivet s’entretient avec Françoise Gatel à 8h30 puis rencontre l’Association des journalistes parlementaires. Elle préside la séance de QAG à 14 heures, puis échange avec Clément Beaune.
Assemblée nationale : A 9 heures, la commission du Développement durable auditionne Jean-Pierre Farandou, PDG de la SNCF et au même moment, la commission des Affaires économiques auditionne Véronique Bédague, PDG du groupe Nexity. A 10 heures, la commission des Lois examine la proposition de résolution visant à réunir le Parlement en Haute Cour, en vue d’engager la procédure de destitution à l’encontre du président de la République et nomme un rapporteur en remplacement de Marie-Agnès Poussier-Winsback. A 11 heures, la commission des Finances auditionne André Laignel, président du Comité des finances locales. La commission du Développement durable auditionne Jean-Christophe Niel, directeur général de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire à 15 heures. A 15h30, la commission des Affaires étrangères écoute Amélia Lakrafi et Aurélien Taché sur les enjeux du XIXe Sommet de la Francophonie et nomme un rapporteur en remplacement de Benjamin Haddad. La commission des Lois auditionne Bruno Retailleau à 18 heures.
Sénat : La commission des Affaires sociales auditionne Pierre Pribile, directeur de la sécurité sociale à 9 heures. Les sénateurs de la commission des Finances interrogent Jean-François Husson à 9h30 sur l’état des lieux des comptes publics en France. La commission Aménagement du territoire vote sur la proposition de nomination de Jean Castex au poste de PDG de la RATP à 10 heures. Victor Castanet est auditionné par la commission des Affaires sociales à 11 heures. La commission des Affaires sociales désigne à 11 heures des rapporteurs sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2025 et des rapporteurs pour avis sur le projet de loi de finances pour 2025. Conférence des présidents à 18 heures.
7h15. France 2 : Dominique Trinquand, général, spécialiste des relations internationales.
7h30. Public Sénat : François Patriat, président du groupe RDPI, sénateur de la Côte-d’Or, Rachid Temal, sénateur SER du Val-d’Oise et Dominique Estrosi-Sassone, sénatrice LR des Alpes-Maritimes.
7h40. TF1 : Maud Bregeon, porte-parole du gouvernement … France 2 : Catherine Vautrin, ministre du Partenariat avec les territoires et de la Décentralisation … RTL : Antoine Armand, ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie … RMC : Jean-Dominique Merchet, journaliste à L’Opinion, spécialiste des questions internationales.
7h45. Radio J : Laurent Marcangeli, président du groupe Horizons à l’Assemblée nationale.
7h50. France Inter : Boris Vallaud, président du groupe Socialistes à l’Assemblée nationale.
8h00. Public Sénat : Marine Tondelier, secrétaire nationale des Ecologistes.
8h10. Europe 1/CNEWS : Eric Ciotti, président de l’UDR.
8h15. France 2 : Siegfried Mahé, dit « Zziigg », dessinateur d’audience … Radio Classique : Patrice Duhamel, journaliste, auteur … RMC : Nicolas Bouzou, fondateur du cabinet d’études économiques Asterès.
8h20. France Inter : Sébastien Chenu, vice-président du RN … RFI : Marc Fesneau, président du groupe Modem à l’Assemblée nationale.
8h30. Franceinfo : Astrid Panosyan-Bouvet, ministre du Travail et de l’Emploi … BFMTV/RMC : François Hollande, député PS de la Corrèze … Sud Radio : Olivier Faure, Premier secrétaire du PS … LCI : non communiqué.
AUJOURD’HUI DANS PARIS INFLUENCE : Budget : les doutes levés, les doutes qui persistent … Barnier en opération “chouchoutage” du Parlement (et de Braun-Pivet) … Les écrans et les caméras à l’IA remises à l’ordre du jour. C’est à 7h30 pour nos abonnés POLITICO Pro.
DANS LE JORF. A Matignon, Antoine Lévêque est nommé conseiller stratégie et presse, Mikael Quimbert conseiller technique outre-mer, Alix de Roubin conseillère solidarités et Cécile Laloux conseillère technique éducation. Marie-Claire Carrère-Gée fait appel à Cédric Mermier comme chef de cabinet. Céline Platel devient chef adjointe du cabinet de Bruno Retailleau. Stéphane Costaglioli est nommé dircab de Nicolas Daragon. Anne Genetet s’entoure du duo Carole Drucker-Godard (directrice du cabinet) et Rémi Leleu (chef de cabinet). Marie Philippe et Ugo Rostaing rejoignent Thani Mohamed Soilihi comme directrice et chef de cabinet. Benjamin Haddad s’adjoint les services d’Etienne Ranaivoson (directeur de cabinet), Aurélie Gadjendra Sarma (conseillère parlementaire) et Kathleen Thomas (conseillère presse). Laurent Naves est nommé chef de cabinet en charge des relations avec les élus d’Agnès Pannier-Runacher. Florent Cognie est nommé chef de cabinet de Marie-Agnès Poussier-Winsback. Laurent Saint-Martin s’entoure de Claire Durrieu (directrice de cabinet), Harmonie Sala (cheffe de cabinet) et Yanis Sicre (conseiller parlementaire).
MÉTÉO. Si ça peut vous rassurer, il pleut aussi à Bora-Bora.
ANNIVERSAIRES : Eric Kerrouche, sénateur SER des Landes … Eliane Assassi, ancienne sénatrice … Henri Alfandari, député Horizons de l’Indre-et-Loire.
PLAYLIST. Puisque c’est dans l’air du temps d’être old school et que nos premiers mots nous l’ont mis en tête : Elle me contrôle, de M Pokora.
Un grand merci à : nos éditeurs Matthieu Verrier et Pauline de Saint Remy, Sofiane Orus Boudjema pour la veille et Catherine Bouris pour la mise en ligne.
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